Allez hop, ma chronique mensuel sur le dernier des Mohicans des petits formats : le fabuleux Cap'tain Swing ! Un petit commentaire sur le dessin couverture que je trouve très vivante et pas trop mal réussie pour une fois. La femme a même des faux-airs de Wampus quand il prend forme humaine, ce qui n'est pas pour me déplaire. Mais assez de digressions, rentrons maintenant dans le vif du sujet.
L'aventure du Cap'tain Swing s'intitule "2 ans d'enfer". Alors que le Cap'tain Swing est en train de manger dans une taverne, il fait la connaissance d'un drôle de personnage, Hank Tamblin. Celui-ci sort de deux ans de galère et est de retour sur le sol américain pour rejoindre son épouse. Après avoir échappé à plusieurs tentatives de meurtres et suivi une fausse piste, le Cap'tain Swing et Hank retrouvent finalement la trace de celle-ci. Mais les retrouvailles ne vont pas se dérouler comme on aurait pu s'y attendre. Le Cap'tain Swing, Hibou Lugubre et Mister Bluff vont découvrir que Hank n'est pas celui qu'il prétendait être et que son épouse ne vaut guère mieux que lui...
J'ai l'impression d'écrire la même chose d'un mois sur l'autre à propos de Cap'tain Swing, mais - encore une fois - la lecture de cet épisode du capitaine à toque de blaireau m'a procuré beaucoup de plaisir. L'intrigue est très bien ficelée - même si l'on sent dès le début que le pauvre Hank n'est pas clair - et nous tient en haleine jusqu'à la fin grâce aux différents rebondissements.
Le petit plus de cet épisode, c'est que Swing s'essaie à l'humour, mais il est si subtil que l'aubergiste ne le comprend pas (en même temps le gars ne semble pas non plus avoir inventé l'eau tiède). Je trouve que cela rend un peu moins monolithique le personnage et permet de lui redonner une dimension humaine qu'il semble avoir perdu dans certains épisodes.
Pour ce qui est des dessins, rien de particulier à dire là non plus. Toujours efficaces et de très bonne facture dans les scènes d'action. Les personnages - même secondaires - sont tout de suite reconnaissables et ont tous leurs particularités. Les décors ne sont pas en reste non plus et habillent parfaitement les cases. Du très bon boulot.
L'histoire d'Ivanhoé a pour titre "Le cheval de neige". Alors qu'Ivanhoé est en train de manger dans une taverne (ça me rappelle quelque chose mais quoi ?), il est attaqué par le sournois Kent de Rochdale. Tandis qu'Ivanhoé cherche à prendre la fuite devant le grand nombre d'adversaires qui s'oppose à lui, Rochdale abat la monture du héros. Ivanhoé ne doit son salut qu'à l'arrivée d'un noble saxon désargenté, Ian Murdoch. Après la bataille, Ivanhoé accepte de suivre celui-ci dans son château en ruine, non sans avoir prévenu Rochdale que sa félonie ne resterait pas impunie. Murdoch apprend à Ivanhoé que ses terres sont pauvres, mais qu'elles abritent une superbe race de chevaux sauvages. Ivanhoé va tout faire pour capturer le plus bel équidé de la harde, un cheval blanc avec une tâche noire sur le front, qu'il nomme "Étoile"...
J'ai l'impression d'écrire la même chose d'un mois sur l'autre à propos de Cap'tain Swing, mais - encore une fois - la lecture de cet épisode du capitaine à toque de blaireau m'a procuré beaucoup de plaisir. L'intrigue est très bien ficelée - même si l'on sent dès le début que le pauvre Hank n'est pas clair - et nous tient en haleine jusqu'à la fin grâce aux différents rebondissements.
Le petit plus de cet épisode, c'est que Swing s'essaie à l'humour, mais il est si subtil que l'aubergiste ne le comprend pas (en même temps le gars ne semble pas non plus avoir inventé l'eau tiède). Je trouve que cela rend un peu moins monolithique le personnage et permet de lui redonner une dimension humaine qu'il semble avoir perdu dans certains épisodes.
Pour ce qui est des dessins, rien de particulier à dire là non plus. Toujours efficaces et de très bonne facture dans les scènes d'action. Les personnages - même secondaires - sont tout de suite reconnaissables et ont tous leurs particularités. Les décors ne sont pas en reste non plus et habillent parfaitement les cases. Du très bon boulot.
L'histoire d'Ivanhoé a pour titre "Le cheval de neige". Alors qu'Ivanhoé est en train de manger dans une taverne (ça me rappelle quelque chose mais quoi ?), il est attaqué par le sournois Kent de Rochdale. Tandis qu'Ivanhoé cherche à prendre la fuite devant le grand nombre d'adversaires qui s'oppose à lui, Rochdale abat la monture du héros. Ivanhoé ne doit son salut qu'à l'arrivée d'un noble saxon désargenté, Ian Murdoch. Après la bataille, Ivanhoé accepte de suivre celui-ci dans son château en ruine, non sans avoir prévenu Rochdale que sa félonie ne resterait pas impunie. Murdoch apprend à Ivanhoé que ses terres sont pauvres, mais qu'elles abritent une superbe race de chevaux sauvages. Ivanhoé va tout faire pour capturer le plus bel équidé de la harde, un cheval blanc avec une tâche noire sur le front, qu'il nomme "Étoile"...
Une fois encore, cet épisode d'Ivanhoé est très bien écrit (sans aucun doute l'œuvre de Jean Ollivier) mais il se distingue des précédents par cette atmosphère très particulière mise en place durant la traque d'Étoile par Ivanhoé. La sensation de perte de la notion du temps est très bien rendue et cette parenthèse calme permet de donner un nouveau souffle à la fin de l'histoire. Sans celle-ci, nous aurions eu affaire à un épisode correct, mais très/ trop classique.
Les dessins (signés Otellio Scarpelli) sont comme à l'accoutumée très beaux, avec un encrage très fin et très clair qui leur rend vraiment justice. Les scènes d'action sont plutôt bien représentées et les postures des personnages un peu moins statiques que dans les épisodes précédents - celui du mois dernier mis à part.
La revue contient également la troisième et dernière partie du dossier consacré à Thomas Jefferson, la première d'un autre sur John Adams et enfin deux strips - plutôt sympas - en troisième de couverture : Tom Kuss signé Jo Hell et Dominik Vallet, et Fishman par Romain Gondy et Dominik Vallet.
En conclusion, nous avons affaire ici à un très bon numéro de Cap'tain Swing ! dans la continuité de celui du mois de mai. On se rapproche doucement mais sûrement vers la fin de la série, de la revue voire du petit format, et cela est bien dommage tant la qualité est au rendez-vous - pour les amateurs. Vivement le mois prochain !
À noter qu'en quat' de couv' - comme on dit dans le métier - se trouve une publicité pour l'album de Mister No "Le dard empoisonné" dont j'avais parlé il y a un petit moment déjà. Une bonne occasion pour celles et ceux qui ne connaissent pas ce personnage de découvrir un monument du fumetti et du petit format.
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